L’histoire manipulée : les preuves par des tableaux célèbres

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Le magazine Historia présente un dossier spécial sur l'histoire, la peinture et la manipulation, ou comment la peinture sert le politique : des tableaux des 3 périodes Révolution, Premier Empire et Second Empire, sont décortiqués, les intentions du peintre et de son commanditaire expliquées :
 
« Le serment du Jeu de paume » de David, une solidarité de façade, par Olivier Coquard, prof. d'histoire au lycée Henri-IV
« Marat assassiné » de David, une reconstitution abusive, par O. Coquard
 
« Bonaparte visitant les pestiférés à Jaffa » de Gros, la réponse à une sale rumeur, par Alain Pigeard, historien
« Napoléon sur le champ de bataille d'Eylau » de Gros, un chef d'oeuvre de propagande, par A. Pigeard
« Portrait équestre de Bonaparte au mont Saint-Bernard » de David, une monture revue et corrigée, par A. Pigeard
« Bonaparte au pont d'Arcole » de Gros, les Français ne l'ont pas franchi !, par A. Pigeard
– « Le Sacre » de David, Madame Mère n'y était pas, par A. Pigeard
– « La fusillade du 3 mai 1808 à Madrid » de Goya, une oeuvre de réhabilitation, par A. Pigeard
 
« Napoléon III remettant au baron Haussmann le décret d'annexion à Paris des communes suburbaines » de Yvon, refusé car trop réaliste, par Gabrielle Cadier-Rey, maître de conf. à Paris-IV
« L'arrestation de Louise Michel » de Girardet, une pasionaria embellie, par Gabrielle Cadier-Rey
« L'exécution de Maximilien » de Manet, Napoléon III dans le collimateur, par Gabrielle Cadier-Rey
 
Historia, n° 691, juillet 2004, pp. 54-77

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