Flammes et feux, le drame des incendies

Auteur(s) : PRÉVOT Chantal
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« Un incendie terrible s’est manifesté, le 21 germinal dernier, à Valneux, près de Sémur : de 28 maisons qui composaient ce malheureux village, quatre seulement ont été épargnées par les flammes. L’imprudence est encore la cause de cet accident qui ruine un si grand nombre de familles ». Cet événement qui jetait vingt-cinq familles dans le désarroi était malheureusement banal au Premier Empire et n’était traité que par quelques lignes dans l’almanach annuel de Troyes, région du sinistre. [1]

Flammes et feux, le drame des incendies

Robert Hubert (1733-1808). L'incendie de l'Opéra au Palais-Royal le 9 juin 1781.
© RMN - Grand Palais (musée du Louvre) / Philippe Fuzea

Les incendies étaient presque exclusivement d’origine accidentelle, sauf bien sûr lorsque les temps étaient aux troubles sociaux ou aux guerres, mais ces derniers relèvent d’une nomenclature que nous n’examinerons pas dans cet article. Un feu mal éteint, qu’il soit pour le chauffage de l’habitat ou pour la cuisson des aliments, pouvait déclencher un cataclysme à l’échelle d’un hameau ou d’un village. Un exemple parmi tant d’autres, à Cayeux sur Mer dans la Somme, en août 1811 : comme à l’accoutumée une femme préparait la pâtée de sa vache dans la grande marmite. Puis elle jeta les cendres encore chaudes sur un fumier trop sec. Le temps était venteux. Les flammes gagnèrent rapidement le toit et se propagèrent en moins de deux heures, aux 22 maisons du village, malgré l’emploi d’une pompe à eau pour tenter d’éteindre l’incendie et de préserver quelques fermes. [2]

Les jours et les semaines qui suivaient de tels incendies étaient dramatiques. Nous conservons le témoignage d’un envoyé de la préfecture de l’Oise quelques jours après qu’un violent incendie ait ravagé un village entier. Chargé de distribuer de l’argent de la part du département comme premier secours, le citoyen Cambry ne pouvait que constater : « Nul incendie n’offrit une destruction plus entière ; au milieu d’une forêt d’arbres noirs ou de couleur rousse, on n’apercevait plus que quelques cheminées, quelques pignons à moitié renversés : l’église même était détruite. Les habitants sans vêtements et sans souliers, réunis, agglomérés sur un tertre, cherchaient en s’approchant une chaleur qui leur manquait. Point d’abri contre les injures du temps, point d’espérance pour l’avenir ; ils voyaient leurs jardins entièrement brûlés, toutes leurs jouissances d’habitudes perdues ; leurs bestiaux erraient épars dans la campagne : on n’apercevait que femmes échevelées suivies de leurs enfants tout nus; les chiens hurlaient près de l’emplacement où fut jadis la porte de leur maître : jamais tableau n’offrit un spectacle plus vrai du malheur et du désespoir« . [3]

Les incendies en milieu urbain étaient tout aussi tragiques car s’ils touchaient moins de constructions, les immeubles abritaient plusieurs familles. En l’an V, le 29 pluviôse [17 février 1797], le feu prit dans une maison de la rue Saint-Honoré à Paris. Des grenadiers en casernement dans la capitale se précipitèrent pour sauver des familles entières « Ces guerriers accoutumés à des feux plus meurtriers, où il ne s’agit que de détruire pour se défendre, ont appliqué leur courage à braver un feu plus affreux, plus imposant peut-être, et à sauver les victimes qu’il allait dévorer. […] Des femmes au désespoir sont à tous les étages de la maison ; il n’est pour elles d’autre issue que des fenêtres élevées ; c’est dans ce moment que les grenadiers parviennent dans les étages embrasé. El ne s’agit pas de conserver des meubles, des effets précieux : ils sont dévoués aux flammes ; abandonnons-les. Mais sauvez les enfants ! Sauvez les femmes ! Sauvez les vieillards ! » Les témoins virent accourir un homme âgé. Il s’agissait d’un lieutenant en retraite, Charles Lauron qui venait sauver sa fille aînée qui tenait dans cet immeuble un atelier de lingerie. Cinq ouvrières étaient avec elle. Laissons encore la parole aux témoins : « Muni de cordes, il court à l’appartement occupé par sa fille. Il arrive à la chambre où sa fille attendait la mort avec deux personnes de son sexe. Au moment où l’incendie éclata, il y en avait trois de plus : c’étaient une nièce et deux jeunes filles. Aux premiers cris, elles veulent descendre par l’escalier, on ne les a plus revues ». Les deux ouvrières furent descendues grâce aux cordes et sauvées. C’est au tour de Melle Lauron : « Elle consent à grande peine à ce que son père l’attache à son tour pour la descendre par la fenêtre. Mais les cordes, attaquées par le feu, se rompent au milieu de cette périlleuse descente et la malheureuse jeune fille se fait, en tombant, des blessures dont elle se ressentit pendant le reste de sa vie ». La fin fut tragique pour le brave grenadier. « Quant à l’infortuné Lauron, entouré par les flammes, il n’eut d’autre ressource que de se précipiter dans le vide, et se tua raide dans sa chute ! » [4]

La propagation rapide des feux était facilitée par les matériaux utilisés pour les constructions « populaires ». Dans bien des régions le bois ou le pisé servaient à bâtir les murs et le chaume tapissait les toits. Les planchers et les toitures étaient entièrement en bois et s’effondraient lorsque le feu était trop violent. Le préfet des Hautes-Alpes soulignait l’emploi négatif de tels matériaux dans un rapport au ministre de l’Intérieur pour expliquer son impuissance à réduire les sinistres : « J’ai sur les incendies, des relevés véritablement effrayant : on compte des villages qui ont brûlé six fois, dans le courant du siècle qui vient de s’écouler. Les couvertures en chaume dans les campagnes, les bois résineux qui servent à la construction et beaucoup de négligence de la part des paysans occasionnent des désastres qui se renouvellent sans cesse. [5]

Les constructions en pierre étaient plus fréquentes dans les plaines et dans les régions à l’agriculture suffisamment riche pour permettre aux laboureurs ou aux paysans aisés d’investir dans une maison au coût élevé. Le préfet de Moselle notait le changement positif opéré dans son département depuis une dizaine d’années : « Les maisons sont en maçonnerie, et presque partout la tuile y remplace le chaume. L’intérieur de leurs maisons est meublé avec plus de goût et de propreté » [6]. Certes les propriétaires pouvaient choisir entre les ardoises (mais que le vent enlevait facilement), les tuiles (au coût élevé, et qui couvraient imparfaitement), ou encore les tablettes de bois (mais qui restaient dangereuses en cas d’incendie). Quant aux pierres laves, ignifugées, résistantes au vent, bien couvrantes, elles étaient hélas trop lourdes pour bien des constructions. Elles ne pouvaient être posées que sur des murs en pierre bien solides. On avait fait également des essais avec des plaques en tôles de fer. Les écarts de température arrêtèrent là le projet : en été, les tôles s’allongeaient et faisaient bouger la structure, et en hiver, les tôles rétrécissaient et la pluie s’engouffrait dans les brèches du toit, mouillant le grain et les provisions déposée au grenier.

Les toits de chaumes restaient donc largement utilisés, bien que leur couverture végétale hautement inflammable était sujet à un autre danger venu non du sol, mais bien du ciel, à savoir la foudre des orages. Les paratonnerres étaient déjà connus mais restreints au cercle des savants, ils ne faisaient pas encore partie des paysages ruraux et urbains. Et c’est ainsi que le 14 prairial de l’an XI (3 juin 1803), à Paris « le tonnerre [c’est ainsi que l’on nommait de manière générique toutes activités d’un orage] est tombé hier, à une heure après-midi, sur le dôme de la Salpêtrière. Une heure ensuite une flamme violente s’est manifestée, le globe de plomb a été fondu. La terreur s’est répandue parmi les nombreux habitants de ce vaste édifice ; mais l’ordre a été maintenu. Il n’y a eu aucun incident fâcheux » [7]

Autre facteur aggravant, les cheminées étaient souvent trop grandes, mal conçues, et mal entretenues. Elles étaient à l’origine de nombreux départs de feux. Dans le département du Mont-Blanc, le préfet nouvellement nommé découvre l’habitat de ces administrés : « Les bâtiments ruraux sont généralement petits et mesquins, excepté ceux de quelques grandes fermes. La plupart sont couverts de chaume. Les tuyaux des cheminées, d’ailleurs trop bas, sortent vers le milieu du toit, au lieu d’être élevé jusqu’au faîte. De là sans doute le grand nombre d’incendies qui surviennent presque tous les ans, et dont les ravages sont d’autant plus rapides, que les charpentes sont toutes de bois résineux. »  A Paris, le nombre de feux de cheminée était bien supérieur aux incendies dus à d’autres facteurs. En 1804, on comptait 314 feux de cheminée et 89 incendies. Les embrasements de conduits d’évacuation encombrés par les suies ne cessèrent d’augmenter au fil des ans, la ville devenant de plus en plus peuplée. En 1815, il y eut 470 feux de cheminée et 66 incendies. [9]

Face à ces dangers multiples, des précautions matérielles et des politiques communales de lutte contre les incendies se mirent en place. Depuis le début du XVIIIe siècle dans les villes relativement grandes (grosso modo à partir de 30 000 habitants), des ordonnances avaient organisé le rassemblement des « pompiers » lorsque les cloches sonnaient un sinistre, et l’emploi de pompes à eau pour alimenter des tuyaux qui y étaient raccordés. Par exemple, la ville de Nantes, consciente du nombre important de maisons en bois que comportait la cité, acquit en Hollande des pompes pour aspirer de l’eau depuis une borne-fontaine ou un puits, et forma un corps de pompiers d’une quarantaine d’individus, tous volontaires. La majorité de ces pompiers faisaient partie des métiers du bâtiment, ayant la force physique pour utiliser la pompe et tenir la lance, et connaissant de par leurs métiers les différents types de construction. Il était également demandé aux architectes, maçons, charpentiers, couvreurs et ramoneurs qui le pouvaient, de se porter sur le lieu de l’incendie pour se mettre à la disposition des autorités. [10]

A Paris, avant la création du corps des Sapeurs-pompiers en 1811, différentes ordonnances de la préfecture de police du régime impérial avaient pris des dispositions pour faciliter la lutte contre les incendies, certaines de ces dispositions étant des rappels d’arrêté de l’Ancien régime. Les porteurs d’eau disposant de tonneau et pas seulement de seaux étaient tenus en cas d’incendie de se porter au lieu de l’incendie, avec leurs tonneaux, pour fournir les secours nécessaires ; à cet effet, ils rentreront chaque jour leurs tonneaux pleins. Ils recevront une indemnité [11]. Les porteurs d’eau à bretelles [portant deux seaux] pouvaient également apporter leur aide : s’il leur était interdit de puiser après dix heures du soir aux fontaines publiques, [une exception était faite] en cas d’incendie. [12]

Les « laboratoires », c’est-à-dire les industries utilisant des produits chimiques, tout comme les manufactures employant des matières inflammables avaient fait l’objet d’une ordonnance spécifique pour minimiser les dangers d’incendie. « Article 1.  Il est défendu d’établir, dans la ville de Paris, aucun atelier, manufacture ou laboratoire qui pourraient compromettre la salubrité ou occasionner un incendie, sans avoir préalablement fait, à la préfecture de police, la déclaration de la nature des matières qu’on se proposera d’y préparer et des travaux qui devront y être exécutés. Il sera déposé en même temps un plan figuré des lieux et des constructions projetées. Article 2. Aussitôt après cette déclaration, il sera procédé par des gens de l’art, assisté d’un commissaire de police, à la visite des lieux, à l’effet de s’assurer si l’établissement projeté ne peut point nuire à la salubrité ni faire craindre un incendie. Il en sera dressé un procès-verbal d’enquête de commodo et incommodo, pour être statué ce qu’il appartiendra. » [13] Mais cette ordonnance ne fut guère appliquée, la nécessité d’une industrie forte et rentable rendirent les enquêtes compliquées et les ralentir. Ce qui permit à de nombreux ateliers ou laboratoires même potentiellement dangereux de rester dans les murs de la capitale.

Dans les hameaux et villages, une telle politique de prévention ne pouvait être établie et lorsqu’un incendie se déclarait, les seules ressources dont disposaient les habitants étaient outre eux-mêmes, les quelques seaux à leur disposition (en cuir de mouton à cette époque), et tout contenant pouvant être utilisé. Le fumier généralement disponible à proximité constituait également une aide pour étouffer un départ de feu.

Conscient de la dangerosité potentielle du chaume sur les toits, les paysans avaient inventé une isolation à la fois thermique et ignifugée. Ils plantaient de la joubarbe (une plante grasse) sur les chaumes, ce qui avait la double conséquence de solidifier les faisceaux de paille et de les rendre plus lents à être la proie des flammes, et d’apporter une protection superstitieuse, car la joubarbe, nom qui signifie barbe de Jupiter le dieu du tonnerre, était sensée éloigner l’orage. Le suc de plantes comme l’euphorbe ou les racines de chicorée était également employé en surcouche, après avoir macéré dans l’eau pendant une journée et avoir été bouilli. Le résidu servait à crépir les chaumes au-dessus et même en dessous. [14]

L’éducation des enfants était une autre facette de la prévention. Souvent laissés seuls à la maison, ou peu surveillés, les enfants et leurs jeux pouvaient entraîner de grands malheurs. Il convenait de les instruire dès leur plus jeune âge des dangers du feu tant pour eux que pour la maison. Les abécédaires qui était à la fois manuel d’apprentissage de lecture et de morale, insistaient sur les dangers des enfants désobéissants, comme cette petite Rosa qui n’écouta pas les conseils de sa mère : « Madame Dalbany disait toujours à Rosa sa petite fille, âgée de quatre ans, qu’il ne fallait pas jouer avec le feu, qu’une étincelle suffisait pour embraser une maison, une ville […] Un jour, madame Dalbany eut affaire à sortir : c’était l’hiver. Elle pensa bien à éteindre le feu, mais sa tendresse l’en empêcha, elle avait déjà assez de chagrin de laisse sa petite fille : la laisse sans feu, oh cela n’était pas possible ! […] Rosa ne fut pas plus tôt seule, qu’oubliant la défense de sa maman, tira des charbons à elle, en prit avec des ciseaux, et joua tant avec qu’elle en fit rouler sur ses jupons. La petite était si occupée d’un petit bâton qui brûlait comme un flambeau, qu’elle ne s’aperçut pas que le feu prenait à sa robe. » [15] La malheureuse petite fille ne fut sauvée que par l’arrivée de sa mère, mais garda toute sa vie « les marques de sa désobéissance ».

Et ensuite, et sans doute en premier lieu pour bien des habitants, il convenait de se prémunir d’un incendie par des rituels de protection qui faisaient appel à la religion catholique ou à d’anciennes traditions plus ou moins rhabillées de christianisme. En présence de dangers si fréquents, il ne pouvait y avoir un seul saint pour y faire face. L’offre, si on peut dire, était plus vaste : on priait saint Donat contre la pluie, le tonnerre, la foudre, les orages, la grêle ou les tempêtes, sainte Barbe contre la foudre, sainte Agathe contre les orages, et bien sûr, la sainte Vierge qui était l’objet d’une grande dévotion.

Selon la théorie que la maladie devait être combattue par la maladie, le danger par le danger, le feu devait être contré par le feu. Au solstice d’été, dans la Beauce, on emportait un tison du feu de la Saint-Jean chez soi pour se garder pendant un an de l’incendie et de la foudre. A la Chandeleur en Provence, on se munissait d’une bougie pour la présenter à la messe. Les femmes devaient rapporter ces bougies toujours allumées dans leur demeure. On considérait ce cierge comme un préservatif contre la foudre. La nuit de Noël dans la Sarthe, on mettait un gros morceau de bois appelé tréfous, on en retirait les restes pour les placer sous les lits, afin que la maison et les personnes qu’elle abritait soient préservées du tonnerre pendant l’année.

Quand l’orage grondait et les éclairs se rapprochaient, les habitants s’en remettaient soit au curé, qu’ils dotaient de pouvoirs surnaturels et capables de parler aux éléments. En tant qu’intercesseur des puissances célestes, bien des paroissiens s’imaginaient que le prêtre pouvait éloigner les nuages. Et malheur au curé qui refusait de se prêter à cette liturgie, la jugeant païenne et dénouée de tout fondement. Des lettres de plaintes parvenaient à l’évêque et de nombreux chahut étaient organisés contre le curé. Il était tout aussi difficile pour certains ministres de l’Eglise de persuader leurs ouilles que sonner les cloches à l’approche d’un orage ne permettait pas de repousser les cumulus. Les ondes produites par le son des cloches n’avaient pas la « force » de chasser les nuages sur les autres villages !. Bien au contraire, seule masse métallique dans ce paysage, la cloche attirait la foudre … qui frappait et brûlait le sonneur, comme ce fut le cas pour le malheureux Jean Pugibet du village Trouille [le bien nommé] :  « Le Journal de Paris rapporte qu’au mois d’août 1807, un homme plus religieux qu’expérimenté, nommé Jean Pugibet, de la paroisse de Trouille, près de Toulouse, ayant entendu gronder le tonnerre, courut au clocher, et se mit à sonner de toutes ses forces pour détourner l’orage : que le maire  de Trouille, moins pieux et meilleur physicien se hâta de se rendre à l’église pour faire taire les cloches ; mais il arriva trop tard. Le malheureux Pugibet était déjà étendu par terre, frappé de la foudre qu’il avait voulu conjurer. [16]

A l’image des cloches que l’on sonna de moins en moins pour éloigner les mauvais nuages ou de la joubarbe que l’on planta moins souvent sur les toits, la lutte contre les incendies prit tout au long du 19e siècle une physionomie moins superstitieuse grâce à l’impulsion donnée par la création du bataillon de sapeurs-pompiers, devenus des professionnels de la lutte contre les incendies. La propagation des feux s’amenuisa devant les progrès d’un habitat plus sûr, de toits moins inflammables. La lutte contre les incendies fut l’objet de véritables politiques publiques, tant de la part du gouvernement central que des autorités locales. Des bouches d’eau réservées aux pompes furent installées dans les villes et les bourgs. Des brigades de pompiers volontaires, mais entraînés régulièrement, furent créées jusqu’aux petits villages. Un lieu de stockage de tonneaux toujours remplis, de pompes en état de marche et d’échelle fut préconisé pour toutes les cités.

[1] Le double almanach journalier pour l’année 1806, Troyes, Garnier, 1806, p. 61

[2] Beaucour, Fernand-Emile, « L’incendie de Cayeux sur mer, du 30 avril 1811 », Société d’archéologie et d’histoire de Saint Valéry sur Somme, Bulletin n° 8, 1977, p. 29-46

[3] Cambry, Jacques, Description du département de l’Oise, Paris, P. Didiot l’Aîné, 1803, Tome I, p. 83-84

[4] « Les deux lieutenants Lauron », dans La Sabretache, 1911, p. 503-505

[5] Bonnaire, Mémoire au Ministre de l’Intérieur, sur la statistique du département des Hautes-Alpes, Paris, Impr. des Sourds-Muets, [1800], p. 78

[6] Colchen, C., Mémoire statistique du département de la Moselle, Paris, impr. de la République, an XI, p. 104

[7] Aulard, Alphonse, Vie sous le Consulat, Paris, Cerf, 1903-6, tome 4, p. 129

[8] Verneil, Statistiques générale de la France, Département du Mont-Blanc, Paris, Testu, 1807, p. 415

[9] Plazanet, baron de, Manuel du sapeur-pompier, Paris, Anselin, 1831, p. 205

[10] Guépin, A., Histoire de Nantes, Nantes, Prosper Sébire, 1839, p. 367

[11] Ordonnance concernant les porteurs d’eau, Paris le 25 frimaire an XII, 17 décembre 1803, dans « Collection officielle des ordonnance de police », Paris, Boucquin 1880, tome I, p. 106-107

[12] Ibid.

[13] Ordonnance concernant les ateliers, manufactures ou laboratoires, Paris, le 12 février 1806, dans « Collection officielle des ordonnance de police », Paris, Boucquin 1880, tome I, p. 158-9

[14] Encyclopédie domestique, T. III R-Z, Paris, 1822,  p. 142

[15] Abécédaire critique et moral sur les défauts des petits enfants, Paris, Le Prieure, 1812, p. 36-37

[16] Salgues, J. B., Des erreurs et des préjugés répandus dans la société, Paris, Buisson, 1810, tome 1, p. 4

Chantal Prévot, responsable des Bibliothèques de la Fondation Napoléon (juin 2024)

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